Comme il l'a fait auparavant en faveur du combat pour préserver l'hôpital de Chaumont, le comité Haute-Marne du Parti de Gauche apporte tout son soutien au combat des agents de l'hôpital général de Saint-Dizier.
Sous les exigences de l'Agence Régionale de Santé qui réclame un retour à l'équilibre du budget, le directeur prévoit la fermeture de lits, donc une réduction de la capacité de l'hôpital à soigner les habitant-e-s. L'ARS est elle-même aux ordres d'un gouvernement qui veut réduire de 12 milliards d'euros les dépenses de santé au motif que les caisses sont vides.
Que le gouvernement fasse payer leurs impôts aux multinationales du CAC 40 et aux riches particuliers et les caisses seront pleines pour soigner correctement toute la population, à St-Dizier comme partout ailleurs ! Le combat des agents hospitaliers est pour notre santé !
L'intersyndicale (CGT, FO, CFDT) appelle la population à se rassembler sur le parvis de l'hôpital Geneviève De Gaulle Anthonioz ce jeudi 9 juillet de 14h à 15h.
Ci-dessous le tract de l'intersyndicale :
Hôpital de Saint-Dizier en Danger !
Manifestation le jeudi 9 juillet
Sur le parvis de l’hôpital
La rencontre avec le Directeur le 6 juillet n’a pas porté ses fruits !!!
Suite à l’assemblée générale du personnel, il a été décidé de continuer le mouvement avec des regroupements à différentes dates, sur une durée d’une heure programmée.
Nous vous demandons de nous réunir pour cette première journée de 14h00 à 15h00 sur le parvis et dans le hall de l’hôpital le jeudi 9 juillet.
Le directeur doit trouver d’autres économies que celles faites sur le dos du personnel non médical, par exemple sur la gestion du personnel médical, en fidélisant nos médecins afin de limiter les remplacements.
La fermeture de 56 lits est programmée
►►►►►► Donc suppression de 48 équivalents temps plein de personnel non médical STOP !!!!
Nous rencontrerons Monsieur Talec, Directeur de l’Offre de soins à l ‘ARS, le 17 juillet.
Notre hôpital ne doit pas se dépouiller avant la parution de la future Loi de Santé de Marisol Tourraine.
Sans réaction, c’est la mort de l’hôpital.
Comme notre Marraine Geneviève
Nous entrons en résistance.